
Au pied des pierres
blanches du lavoir,
lustrées par les années,
l’eau de la rigole récolte
les larmes vertes
d’un saule
On ne rame pas
sur l’eau dormante
Point de morsure
sous le morceau d’azur
à bon port où nous sommes
En ce lieu désiré
la vie est simple
est sans plis

Au loin la chapelle
est présence aimante
au port d’Aziré.
T.P